Laurent Jalabert était positif à l’EPO sur le Tour de France 1998. C’est ce que révèlent des tests rétroactifs menés en 2004 par l’AFLD sur un échantillon d’urine du coureur français. Ces tests avaient alors été pratiqués anonymement mais la commission d’enquête sénatoriale sur l’efficacité de la lutte contre le dopage en France, qui rendra public son rapport le 18 juillet prochain, a exhumé les PV qui permettent aujourd’hui de mettre un nom sur les échantillons testés. Laurent Jalabert qui n’avait jusqu’à maintenant jamais été confondu, évoluait en 1998 au sein de la formation ONCE de Manolo Saiz, récemment blanchi lors du procès Puerto.
Substance indétectable en 1998, l’EPO était présente dans quasiment tous les échantillons d’urine analysés six ans plus tard.
Rappelons que le Tour de France 1998, remporté par Marco Pantani, avait été celui de l’affaire Festina qui avait conduit à l’exclusion de l’équipe française menée par Richard Virenque.
Substance indétectable en 1998, l’EPO était présente dans quasiment tous les échantillons d’urine analysés six ans plus tard.
Rappelons que le Tour de France 1998, remporté par Marco Pantani, avait été celui de l’affaire Festina qui avait conduit à l’exclusion de l’équipe française menée par Richard Virenque.